Plus l'élection présidentielle approche, plus les sites des politiques sont la cibles d'attaques divers et variées. Dès novembre plus de 400 sénateurs UMP ont été attaqué, leurs données personnelles ont été publiées sur internet. La revendication des hackers était de rendre «un hommage aux banlieues karcherisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d'asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, traqués et expulsés, à toutes les victimes de l'UMP». Il n'y a guerre de temps des activistes pro-Turquie ont piraté le site de la député UMP Valérie Boyer qui est à l'origine sur la proposition de loi d'interdiction de négation de tout génocide. «Frédéric Giudicelli, le directeur de la campagne web de F.Hollande a déclaré ont a compris que ça n'était pas optionnel. Un piratage peut faire d'énormes dégâts dans une campagne».
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